Faut-il accepter de nouveaux millions de passagers à l’Aéroport International de Nice, qui en compte 14,5 millions à ce jour ? Son extension engendrerait 20.000 vols supplémentaires par an.
Circulation congestionnée dans un paysage maralpin déjà très contraint entre mer, littoral urbanisé, montagne. Des écosystèmes marins et terrestres dégradés, bétonnage, artificialisation des terres, hausse des prix pour les locaux et phénomène de gentrification reléguant la population locale qui se paupérise.
Le surtourisme n’est pas supportable dans une région en burn-out.
Notre territoire, comme la planète, a des limites. Afin de redonner une qualité de vie à l’existant, aux personnes, aux biens, aux quartiers, nous préconisons une stabilisation de l’attractivité pour que locaux et touristes savourent à leur juste valeur ces paysages.