Des hectares de béton coulés dans la Méditerranée,
Des ilots flottants restau/bar/nigth-club/piscine ancrés aux herbiers de posidonie,
Des fonds marins sacrifiés sur l’autel de l’attractivité,
Des nouveaux ports,
Des navires de plus en plus gigantesques,
Des immeubles et infrastructures routières au pied de pistes sans neige,
Des montagnes balafrées,
Des conditions de circulation saturées,
Des écosystèmes terrestres, forestiers, marins exsangues,
LA CÔTE d’AZUR, ralentir ou périr. NON à sa DUBAÏSATION.